La poésie peinture qui bouge et musique qui pense( Deschamps,E)
Ces productions sont des contributions obtenues parmi les
étudiants de neuvième semestre de la licence qui sont dans le cours de
« littérature Francophone » qui est donné par le professeur Favio Sarmiento Sequeda. Ce sont des poèmes qui ont été conçues
pour déclamer dans l’évènement du café poème dans le cours de littérature.
En effet, ce sont quatre textes dans lesquels leurs auteurs laissent entrevoir leurs émotions et sentiments, ceux-ci sont intitulés le cadeau de la vie par Angelica Morales, Etrangère par Gabriela Manduano, Regarde-moi comme toi par Yelitza Santos,et l’oubli par Melissa Duque.
La passion est une force de volonté de l’esprit, une constant du mouvement qui émeut la conscience active de l’homme à agir, se traverser et exploiter ses dons en représentation de sa vie.
D’autre part la ville, cette enceinte transformée par l’intervention de l’homme sur l’environnement est devenue la demeure prédilection de l’individu, le refuge connu des hommes tristes, ouvriers et poètes qui leur inspirent à l’affronter, aimer et détester avec ces grandes facilités et mauvaise habitude. Tels thèmes récemment mentionnés sont à la fois les grands sujets touchés au sein des textes produits par ces étudiantes. Ainsi, les thèmes centraux de ces textes «la passion et la ville », le parcours de ces créations écrites nous introduit dans une belle espace artistique que nous décrivent les concepts que chaque poète prend en considération pour l’associer à ses idées et la description singulière de chaque personne donnant une caractérisation poétiques ces appréciations de la passion et la ville.
En effet, ce sont quatre textes dans lesquels leurs auteurs laissent entrevoir leurs émotions et sentiments, ceux-ci sont intitulés le cadeau de la vie par Angelica Morales, Etrangère par Gabriela Manduano, Regarde-moi comme toi par Yelitza Santos,et l’oubli par Melissa Duque.
La passion est une force de volonté de l’esprit, une constant du mouvement qui émeut la conscience active de l’homme à agir, se traverser et exploiter ses dons en représentation de sa vie.
D’autre part la ville, cette enceinte transformée par l’intervention de l’homme sur l’environnement est devenue la demeure prédilection de l’individu, le refuge connu des hommes tristes, ouvriers et poètes qui leur inspirent à l’affronter, aimer et détester avec ces grandes facilités et mauvaise habitude. Tels thèmes récemment mentionnés sont à la fois les grands sujets touchés au sein des textes produits par ces étudiantes. Ainsi, les thèmes centraux de ces textes «la passion et la ville », le parcours de ces créations écrites nous introduit dans une belle espace artistique que nous décrivent les concepts que chaque poète prend en considération pour l’associer à ses idées et la description singulière de chaque personne donnant une caractérisation poétiques ces appréciations de la passion et la ville.
Il est certainement nécessaire de profiter ce moyen de
communication pour remercier aux étudiants de neuvième semestre d’avoir soumis
cette édition du journal la plume.
Finalement, l’objectif de cette publication-ci est celui
de promouvoir l’expression créative par les biais de l’écriture dans le
processus d’apprentissage de la langue étrangère, le français ne sert simplement
pour transmettre un message conversationnel mais aussi pour communiquer
authentiquement à travers la poésie comme un moyen d’expression, création et
transformation.
Le cadeau de la
vie
Tiens ! Ta
curiosité s’est réveillée.
Tu as ressenti la joie, maintenant ta vie a un but
tu as envie de montrer au monde jusqu’où tu peux aller,
tu vas y arriver parce que ces désirs sont plus profonds que la mer.
Tu as ressenti la joie, maintenant ta vie a un but
tu as envie de montrer au monde jusqu’où tu peux aller,
tu vas y arriver parce que ces désirs sont plus profonds que la mer.
Ce que tu fais dépasse
l’intérêt d’aller loin
Maintenant ta vie reste calme, il n’est plus nécessaire de courir
tes pas sont fiables, tu es sûr d’avoir ton chemin illuminé
ta passion, le patinage rend ta vie significative.
Maintenant ta vie reste calme, il n’est plus nécessaire de courir
tes pas sont fiables, tu es sûr d’avoir ton chemin illuminé
ta passion, le patinage rend ta vie significative.
« Temps !
Arrête ! » Tu penses
parce que le temps où tu caresses ta passion est plus rapide qu’une balle
Regarde en arrière, tu as parcouru un long chemin
maintenant tes jambes sont au sport comme les poètes sont à l’amour
parce que le temps où tu caresses ta passion est plus rapide qu’une balle
Regarde en arrière, tu as parcouru un long chemin
maintenant tes jambes sont au sport comme les poètes sont à l’amour
Angélica Morales
Étrangère
Elle donnait du
calme
À un cœur en
tourmente
Elle donnait sa
tranquillité
Pour la rendre à
l’aise
Plusieurs fois
perdu
Je n’ajuste
pas ! c’est fou
Plusieurs fois
endeuillé
Dans un lieu
étranger
Merveilleux endroit
Merveilleux froid
Qui réchauffe mon
cœur
Merci jusqu’à la
mort
Gabriela Manduano
Regarde-moi comme toi
Regarde-moi comme
si j’étais toi,
Ne sens pas pitié
d’un roi
Qui travaille pour
ses droits
Pour que la société
me voit comme je te conçois.
Je suis seulement,
celui qui se réveille
Pour que mes fleurs
s’émerveillent
Avant qu’elles deviennent
vieilles
Et que de la
réalité les effraie.
En regardant mon
courage
J’ose à lutter pour
mon entourage
Bien qu’ils rêvent,
ils se découragent
De voir tes
injustices si grandes comme tes rages.
Yelitza Santos Contreras
L’Oubli
Aujourd’hui, je me
suis réveillée très tôt, j’ai entendu des pas pleuvoir,
Des bruits des pas
qui viennent de la rue et entrent par ma fenêtre,
Des milliers
d’esclaves sillonnent les rues pour se rendre dans leurs prisons,
Tout comme les
fourmis ouvrières qui vont à leur nid.
Elles continuent
leur chemin sans regarder en arrière,
Leurs corps se
heurtent, ils croisent leurs regards, mais ils ne s’arrêtent pas,
Regards sans aucun
geste, des automates sans émotions qui ne comprennent pas
Ce que signifie s’arrêter
de travailler.
Des esclaves de
prison qui oublient ce qui signifie aimer,
Qui laissent leurs
enfants seuls, pleurant à la maison, sans rien craindre,
Sans penser que cet
enfant un jour pourrait trouver un jeu difficile à jouer
Et qui pourrait
perdre la tête.
Melissa Duque
9ème
Semestre.