mercredi 31 juillet 2019

DES APPORTS POÉTIQUES


La poésie peinture qui bouge et musique qui pense( Deschamps,E)
Ces productions sont des contributions obtenues parmi les étudiants de neuvième semestre de la licence qui sont dans le cours de « littérature Francophone » qui est donné par le professeur Favio Sarmiento Sequeda. Ce sont des poèmes qui ont été conçues pour déclamer dans l’évènement du café poème dans le cours de littérature.

En effet, ce sont quatre textes dans lesquels leurs auteurs laissent entrevoir leurs émotions et sentiments, ceux-ci sont intitulés le cadeau de la vie par Angelica Morales, Etrangère par Gabriela Manduano, Regarde-moi comme toi par Yelitza Santos,et l’oubli par Melissa Duque.

La passion est une force de volonté de l’esprit, une constant du mouvement qui émeut la conscience active de l’homme à agir, se traverser et exploiter ses dons en représentation de sa vie. 


D’autre part la ville, cette enceinte transformée par l’intervention de l’homme sur l’environnement est devenue la demeure prédilection de l’individu, le refuge connu des hommes tristes, ouvriers et poètes qui leur inspirent à l’affronter, aimer et détester avec ces grandes facilités et mauvaise habitude. Tels thèmes récemment mentionnés sont à la fois les grands sujets touchés au sein des textes produits par ces étudiantes. Ainsi, les thèmes centraux de ces textes «la passion et la ville », le parcours de ces créations écrites nous introduit dans une belle espace artistique que nous décrivent les concepts que chaque poète prend en considération pour l’associer à ses idées et la description singulière de chaque personne donnant une caractérisation poétiques ces appréciations de la passion et la ville.
Il est certainement nécessaire de profiter ce moyen de communication pour remercier aux étudiants de neuvième semestre d’avoir soumis cette édition du journal la plume.
Finalement, l’objectif de cette publication-ci est celui de promouvoir l’expression créative par les biais de l’écriture dans le processus d’apprentissage de la langue étrangère, le français ne sert simplement pour transmettre un message conversationnel mais aussi pour communiquer authentiquement à travers la poésie comme un moyen d’expression, création et transformation.


Le cadeau de la vie
Tiens ! Ta curiosité s’est réveillée.
Tu as ressenti la joie, maintenant ta vie a un but
tu as envie de montrer au monde jusqu’où tu peux aller,
tu vas y arriver parce que ces désirs sont plus profonds que la mer.

Ce que tu fais dépasse l’intérêt d’aller loin
Maintenant ta vie reste calme, il n’est plus nécessaire de courir
tes pas sont fiables, tu es sûr d’avoir ton chemin illuminé
ta passion, le patinage rend ta vie significative.

« Temps ! Arrête ! » Tu penses
parce que le temps où tu caresses ta passion est plus rapide qu’une balle
Regarde en arrière, tu as parcouru un long chemin
maintenant tes jambes sont au sport comme les poètes sont à l’amour
Angélica Morales



Étrangère
Elle donnait du calme
À un cœur en tourmente
Elle donnait sa tranquillité
Pour la rendre à l’aise

Plusieurs fois perdu
Je n’ajuste pas ! c’est fou
Plusieurs fois endeuillé
Dans un lieu étranger

Merveilleux endroit
Merveilleux froid
Qui réchauffe mon cœur
Merci jusqu’à la mort
Gabriela Manduano




Regarde-moi comme toi
Regarde-moi comme si j’étais toi,
Ne sens pas pitié d’un roi
Qui travaille pour ses droits
Pour que la société me voit comme je te conçois.

Je suis seulement, celui qui se réveille
Pour que mes fleurs s’émerveillent
Avant qu’elles deviennent vieilles
Et que de la réalité les effraie.

En regardant mon courage
J’ose à lutter pour mon entourage
Bien qu’ils rêvent, ils se découragent
De voir tes injustices si grandes comme tes rages.
Yelitza Santos Contreras



L’Oubli
Aujourd’hui, je me suis réveillée très tôt, j’ai entendu des pas pleuvoir,
Des bruits des pas qui viennent de la rue et entrent par ma fenêtre,
Des milliers d’esclaves sillonnent les rues pour se rendre dans leurs prisons,
Tout comme les fourmis ouvrières qui vont à leur nid.

Elles continuent leur chemin sans regarder en arrière,
Leurs corps se heurtent, ils croisent leurs regards, mais ils ne s’arrêtent pas,
Regards sans aucun geste, des automates sans émotions qui ne comprennent pas
Ce que signifie s’arrêter de travailler.

Des esclaves de prison qui oublient ce qui signifie aimer,
Qui laissent leurs enfants seuls, pleurant à la maison, sans rien craindre,
Sans penser que cet enfant un jour pourrait trouver un jeu difficile à jouer
Et qui pourrait perdre la tête.
Melissa Duque
                                                                                                                          9ème Semestre.




1 commentaire:

  1. Ces poèmes sont très bons, la classe de littérature semble être très amusante.

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