jeudi 19 décembre 2019

CINQUIÈME ATELIER D'ÉCRITURE: LA DEVINETTE

Finalement, au cours de la dernière renconre, nous ont compté avec la participation des étudiants.es. de neuvième semestre où nous avons célébré la clôture de la série d'ateliers d'écriture avec la rédaction de devinettes sur animaux.

QUI SUIS-JE ?

Je suis un animal qui habite en Europe et en Amérique du Nord. Mon corps est brun. Ma taille approximée est de 2 à 3 mètres. Je m’alimente de baies, de fruits ou de racines, de saumons et d’insectes. Je suis grand, gros et féroce.
Par Jelitza SUÁREZ


QUI SUIS-JE ?

J’habite en Europe. Je mange tout le vert que je troue mais aussi de petits insectes. Je n’ai pas beaucoup d’amis parce que je suis nocturne, j’ai des grandes oreilles et trois couleurs caractérisent mon pelage.
Par Liseth VILLAMIZAR


QUI SUIS-JE ?

Je suis verte, j’ai 4 pattes et ma taille est de 10 à 12 centimètres ; j’habite dans les lieux humides ou les cours d’eau. Mes cuisses sont un mets très apprécié en gastronomie, je suis jolie.
Par Karina SUÁREZ


 QUI SUIS-JE ?

Elle habite dans les grandes herbes, les buissons, elle est un insecte d’endroits secs et ensoleillés. Elle est connue pour être un cannibale redoutable. Elle dévore parfois le mâle  après l’accouplement. Elle est verte ou marron.
Par David ORTIZ


QUI SUIS-JE ?

Je suis un félin sauvage. J’habite en Europe, en Afrique et en Asie. Je suis classifié en rang de préoccupation mineure et je peux atteindre les 8 kilogrammes. Je suis extrêmement timide et j’habite dans la forêt.
Ysmay JAIMES.

QUATRIÈME ATELIER D'ÉCRITURE CRÉATIVE: LE POÈME

Dans cet atelier, les participants.es. ont été des étudiants.es. de troisième semestre encore une fois. Au cours de cette séance, ils/elles ont rédigé des petits poèmes en considérant l'approche « Le Carré Lescurien » .


SILENCE
Par Queen MALAGÓN

Silence, les filles
Elle est très importante
L’histoire de votre famille
Elle peut être étrange,
Mais pourtant chères filles
Vous devez la faire briller.



LA SOLITUDE
Par Nayelis LAGOS et Sharon MARIN

Parfois tu m’embrasses
Quand il n’y a personne
Si je ne te vois pas arriver
Mes yeux commencent à déborder.
Les meilleurs conseils
Je les trouve chez toi
Certains me rendent triste
D’autres me parlent d’absence.



UN SENTIMENT 
Par Fabian GALOFRE

Il y aura toujours un sentiment
Aussi immense que la vie
Que vous ne pouvez pas acheter avec de l’argent
C’est un sentiment très vif
Incroyable et merveilleux vraiment
Qui réveille la tristesse, qui n’a pas prix.



TOI ET MOI
Par Camila HERNÁNDEZ

Un jour tu m’as demandé de choisir
Entre toi et la vie, j’ai choisi
La vie, mais ce que tu ne sais pas,
C’est que ma vie, c’est toi. 



LA GRÂCE DE LA FAMILLE
Par Karol et Daniel

La famille est un espace
Avec de belles histoires
Qui sont le résultat
D’un amour impossible
De croire.


TROISIÈME ATELIER D'ÉCRITURE: LE VIRELANGUE

Dans cette rencontre, les étudiants.es. de troisième semestre, une autre fois, ont participé en rédigeant des virelangues en tenant compte les sons phonétiques suivants: [f], [œu], [eu], [ou], [oi] et [i].



Il y avait une fée sur une feuille dans la forêt, cette fille fée ira à la lune sur une fusée pour manger des fourmis. 
Marie NIÑO

La peur cœur de ma sœur ouvre et manœuvre le feu mais les cheveux chaleureux couleur de veuve fleure œil de beurre.
 Ingrid HERNÁNDEZ

La première grenouille partage sa nourriture, le petit squelette lavera la seringue et toi, sur un cheval, essaieras de prononcer « pamplemousse » sans erreurs et sur un cheval.
Julian HERNÁNDEZ

Si vous avez le temps vous devriez soigner les enfants parce que si vous n’avez pas le temps vous devriez appeler votre maman pour soigner les enfants.
Juan Diego VELEZ

Un diabétique diabolique fatigué de libérer des fatidiques cris sur l’église pendant l’éclipse libertin décida de devenir catholique.
Jhosman ZAFRA

DEUXIÈME ATELIER D'ÉCRITURE: LA LÉGENDE

À cette occasion, nous avons compté avec la participation de quatre étudiantes de neuvième semestre où elles ont rédigé les histoires des légendes les plus célèbres de la Colombie.


LA MADRE MONTE
par Jelitza SUÁREZ

C’est une femme habillée de feuilles qui vivait dans les forêts. Elle avait ses cheveux dans le visage, c’est pour cela qu’elle était une énigme. On pouvait écouter ses cris entre les arbres et sa silhouette se perdait dans l’épaisseur du bois.

La Madre monte surveillait les forêts, elle prenait soin des pluies, du vent, et des animaux. Pour cette raison, elle détestait les bûcherons et poursuivait les chausseurs, parce qu’ils violaient ce lieu secret et sacré où elle habitait.

Quand elle était furieuse, ses yeux jetaient du feu et ses mains devenaient en os. En conséquence, il y avait des tonnerres et du vent. Elle construisait sa maison dans des cascades et quand il y avait des infidèles, elle les punissait.

Il y avait des personnes qui disaient que la Madre monte n’avait pas de forme mais qu’elle s’habillait en utilisant en utilisant de la mousse. On recommandait de fumer du tabac pour éviter d’être chassé par la Madre monte.

La plupart des gens disaient qu’elle se trouvait dans différentes régions de la Colombie comme : en Antioquia, dans les Andes centrales et occidentales ainsi que dans les vallées de la rivière Magdalena et de la rivière Cauca. Les hommes devaient être attentifs à ses traces pour ne pas trouver la mort.



LA LLORONA
par Ysmay JAIMES

Dans toutes les régions de la Colombie, elle est bien connue cette légende. La femme qui pleure est une femme qui marche dans les quartiers des villes colombiennes, tandis qu’elle pleure et crie.

Cette histoire a surgi à partir d’une jeune femme de peuple qui a voyagé à une grande ville pour étudier, travailler et pouvoir aider sa famille. Cette femme est arrivée à la grande ville et une famille puissante l’a employée, malheureusement le garçon de la famille l’a mise enceinte, et la famille l’a renvoyée du travail. À cause de cet évènement la jeune fille a décidée de retourner à son village, mais ses parents étaient assez catholiques et malgré la fille, cachait son ventre, ils se sont rendus compte et l’ont jugé fortement.

La jeune fille a décidé d’aller jusqu’à la rivière pour accoucher la créature et pouvoir continuez avec sa vie normale. Néanmoins quand elle a vu ce qu’elle avait fait, elle a pleuré, a crié et a sauté pour l’atteindre.

De cette manière chaque fois qu’il pleut fortement et que les rivières grandissent, on voit apparaitre « la femme qui pleure », elle crie en demandant où est son enfant.

Pour tous les habitants il est bizarre d’écouter ces cris qui font souvent pleurer les personnes.



LA PATASOLA
Par Liseth VILLAMIZAR 

Il y avait une femme qui s’était mariée avec un vieux paysan. Ils vivaient à la campagne avec leurs enfants : ils étaient nombreux et leur condition de vie était précaire.

Un jour, le mari de cette femme est arrivé chez eux et il a trouvé sa femme avec son patron et il est devenu furieux par la situation, en conséquence, il a tué l’homme après cela, la femme essayait de s’échapper quand le paysan lui a coupé une de ses jambes et à cause de cette blessure, la femme est morte rapidement. La femme n’a pas eu d’enterrement digne, par contre, elle a été mise dans une fosse commune et ses enfants sont morts d’inanition après que leur père, le paysan, s’est suicidé avec un coup de fusil.

La légende dit que cette femme n’est pas complétement morte,  puisqu’elle veille les petits villages pour accomplir sa vengeance contre les hommes machistes et violents. Les gens lui ont donné le nom de « La patasola », en raison de la jambe qu’elle a perdue.  La patasola parcourt les villages pendant la nuit, elle transforme son apparence en celle d’une jeune fille et quand les hommes sont séduits par sa beauté, elle reprend son image véritable, avec des yeux en flammes, des griffes gigantesques et des défenses aiguisées, avec lesquelles elle les dévore ; elle ne laisse que les os des hommes violents. 




El SILBÓN
Par Karina SUÁREZ

Il était un roi dans les plaines Colombiennes un spectre diabolique qui après avoir tué son père, il a erré à travers les plaines depuis longtemps. Le sifflement du spectre diabolique était un synonyme de mort et de malheur. Pour cette raison, il était appelé « El silbón ».

Quelques personnes disent que « el silbón » est un géant allongé, peut-être de six ou sept mètres et qu’il marche en se déplaçant d’un arbre à l’outre, tandis qu’il émet son sifflet de refroidissement et il a fait son os de son père tardif.

La faribole a raconté que « el silbón » était un enfant capricieux et son père était un chasseur, une fois le père est allé à la chasse mais il n’a pas pu, après quand il est arrivé chez lui, son fils était en colère et il l’a tué.

Après, « el silbón » a donné les parties du corps de son père à sa mère qui ne sauvait rien du meurtre, quand sa mère a fini par se rendre compte que la viande pour le gril ne se ramollissaient pas comme d’habitude, elle a suspecté son fils et a prévenu les grand-père.  Après d’avoir découvert ce crime, « el silbón » a été maudit par son grand-père, sa mère et son frère, qui l’ont ligoté, lui ont fouetté le dos, lui ont froissé durement dans les blessures, et ils l’ont viré de la maison, et ils ont lâché le chien pour qu’il le poursuivre.

Finalement la famille lui a jeté la malédiction d’être un errant et il n’aurait pas de repos, parce qu’il entendrait les aboiements du chien chaque fois qu’il s’arrêterait pour se reposer. 





PREMIÈRE ATELIER D'ÉCRITURE CRÉATIVE: LA BANDE DÉSSINÉE

Pendant cette première intervantion, les étudiants.es. de deux cours de Français Intermédiaire I, c'est à dire, troisième semestre, ont participé à la création d'une bande dessinée en tenant compte des aspect culturels entre la France et la Colombie. Ci-après vous trouverez certains exemples:







mercredi 18 décembre 2019

ÉVÉNEMENT : A NIGHTMARE BEFORE CHRISTMAS EVE


Halloween est une des époques les plus célèbres et attirantes de l’année. Pendant ce jour, des jeunes déguisés vont avec ses amis de maison en maison pour chercher de bonbons en criant « Des bonbons ou un sort !». Toutefois, avez-vous vous demandé quel est l’origine de cette tradition ? Voilà certaines informations qui peuvent vous intéresser : 

À l’Antiquité, les Celtes célébraient la fin de l’été avec un festival nommé « Samhain ». Donc, tenant compte que pendant cette célébration, les personnes croyaient que des esprits leur visitaient, ils préparaient un festin pour les bons et, d’autre part, se déguisaient pour effrayer à ceux avec des mauvaises intentions. Néanmoins, avec l’expansion du christianisme dans toute l’Europe, ce festival a été modifié sous le nom « All Hallow’s Eve » en Anglais et étendu à travers les États-Unis avec la migration massive d’Irlandais à cause de la famine. 


Afin de fêter cette tradition, les étudiants.es. de neuvième semestre de la Licence en Langues Étrangères de l’Université de Pamplona ont réalisé l’évènement intitulé « A Nightmare before Christmas Eve » dans lequel tous les étudiants.es de la Licence ont activement participé. Ce festival académique qui a eu l’intention de faire connaitre des légendes et films caractéristiques des États-Unis, la France et également la Colombie, a permis aux invités de profiter du charme de Halloween pendant un jour entier.


Donc, dans la première séance de 9h00 jusqu’à 12h00, les étudiants ont présenté l’histoire des légendes et films qui ont eu un grand impact pendant différentes époques, au moyen de stands. De cette façon, nous avons eu le plaisir d’apprécier des représentations de légendes telles que « La Llorona», « El Mohan » et « Sleepy Hollow ». Également, nous avons pu écouter des explications des films « Le Fantôme de l’Opéra », « It », « Dracula » et « Annabelle ».


Finalement, dans la deuxième partie de l’événement, les étudiants.es. de la Licence ont présenté plusieurs performances, comme des chansons, des danses et d’œuvres théâtrales liés aux légendes et films susmentionnés. De fait, le festival a conclu avec une présentation imprévue mais totalement spectaculaire de deux enseignants du programme des langues.





lundi 16 décembre 2019

SCÈNE FESTIVAL: Une soirée de cinema et des pièces de théâtre


Avec l’intention de promouvoir la jouissance esthétique des langues française et anglaise, les étudiants.es. de neuvième semestre de la Licence en Langues Étrangères de l’Université de Pamplona, nous ont enchantés avec la présentation de certaines pièces théâtrales en Français et des films en Anglais le jeudi, 21 Novembre. 

Pendant cette soirée magique, nous avons expérimenté la peur, la nostalgie et la joie toutes en même temps ; les performances représentées ont abordé des sujets liés à l’horreur, la mort et la comédie.

Quant aux pièces théâtrales, les étudiants.es. ont adapté, en premier lieu, une des œuvres les plus célèbres de l’écrivain colombien Enrique Buenaventura : « La Maestra » pour sensibiliser les invités sur la violence que la Colombie a affrontée dans les années 40 et 50 ; et en second lieu, la pièce intitulée « Les Repoussoirs » d’Émile Zola pour montrer une satire des normes sociales de la beauté en 1866. 

D’autre part, les films présentés dans le festival, faits également par les étudiants.es., ont bien illustré leur créativité par rapport à l’adaptation de certaines œuvres de cinéma tels que « The Shining », « The Dollmaker » et « A Christmas Carol ». 

Voilà les liens de deux films susmentionnés pour que vous les profitiez :



FERMETURE DU PROJET 2022

Clôture du projet… pour l’instant En tant qu’organisateurs de ce projet nous tenons, tout d’abord, à remercier infiniment tous ceux qui se...