AU REVOIR
Que les
constellations éclairent tes sentiers
L’incertitude
éternelle essuie tes larmes
Ne m’oublie pas écœurantes évoquent nos nuits de février
Quand nous dansions
au rythme de claire de lune,
Deux vieilles âmes.
Que les échos du
silence résonnent tes oreilles
Dans ton cœur
vivant cesse de pleuvoir
Peins-toi ! un
Eden éphémère avec tes pupilles
Promets-moi que
ma décision ne te laissera pas
Dans la marée
noire.
Tes baisers
baignaient de lumière mes pénombres
T’as laissé tes
soupirs brûlants tatoué sur mon corps
Les saxophones
majestueux envahissent d’amour cette chambre
Et les airs
changeants remplissent de printemps tes mémoires
Parce qu’il me
reste à dire AU REVOIR.
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